« CdQ numéro 7 » : différence entre les versions

1 274 octets ajoutés ,  18 octobre 2016
aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 21 : Ligne 21 :


Ce que j’aime le plus pour sa beauté pure, c’est l’arbre. Moi, qui ne pourrai jamais franchir ses hauteurs, je ne verrai jamais la vue des branches les plus, qui démontre leurs feuilles vers le ciel. Dans la forêt, je suis à l’ombre, mon nez pressé aux champignons de la terre. Mais l’homme, lui qui est descendu de l’arbre, en faisant la chasse a découvert qu’il fallait couper tous les arbres. Mais pourquoi? Pourquoi tout couper?
Ce que j’aime le plus pour sa beauté pure, c’est l’arbre. Moi, qui ne pourrai jamais franchir ses hauteurs, je ne verrai jamais la vue des branches les plus, qui démontre leurs feuilles vers le ciel. Dans la forêt, je suis à l’ombre, mon nez pressé aux champignons de la terre. Mais l’homme, lui qui est descendu de l’arbre, en faisant la chasse a découvert qu’il fallait couper tous les arbres. Mais pourquoi? Pourquoi tout couper?
"Neither rain driven from afar on the storm,
of the crying cloud, no wind shall sweep it, caught
and stricken with the blown debris into the corners
of the sea."
Le vent, le vent, ce gros vent! Je le sens même ici parmi les fougères. Les feuilles des arbres fatigués, assoiffés, tombent comme des énormes flocons de neige. Mais c’est une neige sèche, sans la fraicheur de l’eau. Ouf! Une branche vient de tomber du ciel. Une chance que j’aie pu me retirer la tête avant qu’elle soit écrasée par cette branche. Je ressors ma tête pour pouvoir bien examiner les feuilles qui sont à peine attaché toujours à la branche. Elles manquent de couleur : rose pale, blanchit, jaune mais gris comme l’hiver. Moi, le tortu luth, je dépose mes œufs au début de l’hiver, à côté de la mer et après ça, je les abandonne. Mes petits sont élevés par les vents et la mer. Et moi, je retourne à la mer. Je chasse les méduses dans la cote ouest des États Unies, mais tabarouette, les californiens aiment leur christies sacs en plastique! Ils déposent dix-neuf milliards par année dans le Pacifique! J’en mange régulièrement, surtout parce que je ne vois pas très bien et les sacs de plastiques ressemblent beaucoup à mes méduses délicieuses!