« Partout Les Nouvelles aventures de Hansel et Gretel » : différence entre les versions

Dans le conte traditionnel, les enfants s'en sortent en tuant et volant la sorcière, en retrouvant leur chemin, le lit de leur père adoré et de leur méchante mère mystérieusement décédée pour vivre des jours heureux sous le regard de l'ogre au grand coeur - ''Comme ça se peut pas!'' (Expression consacrée des enfants pour justifier l'amour qu'ils ont pour ce père outremangeur d'enfants; discussion sur le père par les petits, soulignant leur innocence.)  Cet aimable papa qui n'a rien trouvé de mieux que d'assassiner leur mère pour avoir le courage d'affirmer son allergie aux petits enfants!  Que c'est sa femme qui le forçait à en manger, que lui a toujours eu en horreur la chair fraîche des petits enfants et ra-ra-ra. Pas de sa faute.  Il est victime de la marâtre, comme il avait été victime lui-même, enfant abusé de la DPJ qui n'a jamais eu de famille, chialait-il.  

Comme de raison les retrouvailles avec le bon papa furent de courtes durées, la police est venu plutôt le cueillir tandis que les madames de la DPJ les ont emmené.es, apeuré.es et larmoyant.es, dans un foyer de groupe en attendant de trouver une ''aut-tre so-lu-tion'', répétait la Madame.  - Soyez sages mes enfants, on essaie de contacter votre famille.  Notre famille?  Qui ça, se demande Hanzel sans oser parler?  On a pas de famille.  Y'a que nous.  Personne ne saura qui on est, personne ne voudra de nous.  Hanzel entend une voix : ''mon petit-loup'', en écho decrescendo'' - un souvenir tente de faire surface. Hanzel frissonne''. Il serra plus fort la main de Gretel tandis qu'on leur ouvrait la porte d'une chambre à deux lits avec des toutous, et un dessin BIENVENUE sur le mur.  Début de l'attente qui durera toujours, le jour où iles retrouveront un foyer bien à iels